À propos.

L’envol commence. Yamaada.

Bonjour a tous et bienvenue sur le Bixte en Ciel nouvelle formule. Bixte en Ciel lave maintenant plus blanc que blanc et troll plus fort que jamais, rien que pour toi public.

Ici, nous continuerons de parler Anime, un peu manga, un peu jeux vidéo, un peu films, et un peu d’autres choses aussi, selon les inspirations.

Mais tout d’abord, un peu de pourquoi. A l’opposé de pas mal de personnes, j’ai eu la chance d’avoir des parents assez ouverts, ce qui m’a permis de plonger dès mon plus jeune âge dans les tréfonds obscurs du geekisme latent. Le Hard Rock et le Seigneur des Anneaux restant les jalons de mon passage  à l’adolescence (quoi, votre père ne vous l’a pas fait lire à 10 ans ?), préfigurant une lente descente dans le vice. Après être passé par divers état, toujours actifs de nos jours, tels que le Wargame (Warhammer, par exemple), le jeu de rôle, les ccg (Magic l’assemblée), les jeux vidéo bien sur (mégadrive à mes 10 ans o/), le cinéma de merde particulier (zombie, alien, gore en stock et scénar trippés à la Cronenberg) ou encore quelques comics, j’ai eu un aller retour sur l’animation assez marquant.

Arrêtez votre bateau quelques jours. Cb.

A l’époque de ma prime jeunesse, le club Dorothée occupait mes euh…. mon temps libre, dirons nous, mais un certain conflit naquit de la vilaine violence des séries et de mes comportements un poil virulents par moments. Donc il y a eu une espèce de trou béant entre ce moment de grâce remplit d’albator et autres dragon ball et le raccrochage vers 14 ans (grosso-merdo 7 années). Là, un ami très cher et légèrement plus âgé m’ayant vu fureter dans ses artbooks me força à visionner quelques vhs piratés sur une chaine du câble (la télé remplie de chaines avant le dégroupage adsl ~~). Comme d’aucuns s’en douteront, il s’agit bien évidemment d’Evangelion et de Cowboy Bebop. De là, ca a été l’escalade, la découverte des mangas en gros (X ca pouuuuutre, ah ouais mais y’en a d’autres aussi ohlala), puis des sites internette qui parlaient de ça quand la Sainte Perte de Temps envahis mon espace vital, puis les achats de coffrets, puis les osts, puis les figurines, puis les Visual Novel (oh my fuckin…..).

Brayf, arrivé maintenant à l’âge adulte (ah ah ah), je continue de me tourner vers ces palliatifs à une enfance perdue avec toujours le même entrain et la même envie, celle de m’évader. Bien la seule chose à laquelle je sois resté fidèle depuis une vingtaine d’année.

En vous souhaitant une bonne lecture,

Aer.

Ailleurs. Sunakumo.